Dans le cadre d’un bon fonctionnement, il est juste de comprendre qu’à chaque situation qui se présente au moment que les besoins de l’être humain ne sont pas comblés, celui-ci soufrera au niveau de ne pas pouvoir s’en empêcher car le vide sera remarqué. Ce qui sous-entend que certaines réalités sont inévitables surtout quand les causes surviennent en raison des troubles politico-économiques.
La population du département de la Grand’Anse vit d’une situation où quiconque aurait pu avoir le sentiment de ne pas voyager, car cela devient de jours en jours brumeuse. Alors que, huit (8) ans de cela, les gens pouvaient choisir n’importe quelle voie pour se rendre à la capitale du pays. Sans insister sur tout ce qui s’est passé ou qui se passe en ce qui concerne la voie maritime et la voie routière, il est important de préciser que toutes les personnes ayant la nécessité pour aller à Port-au-prince jusqu’à ce mois-ci, doivent d’abord se rendre aux Cayes, car aucun avion de la compagnie « Sunrise » ne vole sur la direction de la Grand’Anse précédemment au mois aout 2023. Très souvent, ce déplacement représente un risque d’une dépense excessive dépendamment de la période.
Récemment, après avoir mené des enquêtes, un Représentant de cette compagnie a mentionné que la raison pour laquelle les voyages se sont arrêtés, c’est que l’avion a un problème majeur. Parmi d’autres questions qui lui ont été posées, celle-ci a été fondamentalement remarquable lorsqu’on lui a demandé comment se fait-il qu’il y a d’autres avions qui volent pour d’autres directions du pays ? Ce Représentant a précisé que ces avions ne sont pas les mêmes avec celui qui fréquente la piste du département de la Grand’Anse. Pour conclure, il a profité d’annoncer qu’à partir du mois de mars prochain, même s’il n’y a pas encore de date, la compagnie se chargera de reprendre normalement les heures de vols.
Outre de cela, il faut dire qu’il y a un avion nommé « AGAPE FLIGHTS» qui fréquente l’aérogare, objectivement pour transporter les cargaisons pour la fondation « Haïti Bible Mission ». Face à ce problème, il y a un hélicoptère momentanément qui vole deux fois par semaine en attendant qu’il y ait beaucoup plus de demandes.
En attente des autres possibilités, les gens continueront à prendre les mêmes risques tout en étant incapables de faire le contraire à part prendre cet hélicoptère.