« Si je suis en bonne santé et dans la meilleure position pour gagner les élections, oui, je n’hésiterai pas », a-t-il répondu lorsqu’on lui a demandé s’il serait candidat. Il a également rappelé que pendant son administration (2003-2011), le Brésil a noué des liens étroits avec l’Europe, l’Amérique du Sud, les États-Unis, la Chine et la Russie.
« Sous mon mandat, le Brésil est devenu un acteur important sur la scène mondiale », a souligné le principal dirigeant de la gauche brésilienne. En mars, il a retrouvé ses droits politiques après une décision de la Cour suprême fédérale qui a annulé les condamnations pour corruption à son encontre.