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Guerre en Ukraine, catastrophes climatiques, insécurité alimentaire… Dans un monde assiégé par les crises, les dirigeants de la planète vont se succéder à partir de ce mardi à la tribune de l’Assemblée générale de l’ONU, éprouvée par des divisions profondes. Pendant près d’une semaine, quelque 150 chefs d’État et de gouvernement du monde entier vont prendre la parole lors de cette grand-messe diplomatique annuelle, qui reprend en présentiel après deux années de pandémie de Covid-19.

Comme chaque année, c’est le Brésil de Jair Bolsonaro, qui ouvrira la danse, suivi des États-Unis, avec la prise de parole de Joe Biden. Cette tradition remonte à 1947. Il y a 75 ans, le Brésil avait, pour la première fois, ouvert l’Assemblée générale de l’ONU, car aucun autre État membre n’avait voulu le faire. Depuis, le pays d’Amérique du Sud prend systématiquement la parole en premier, apprend-on sur le site des Nations Unies. Élu en janvier 2019, et candidat à sa réélection en octobre prochain, le président controversé d’extrême-droite brésilien Jair Bolsonaro suit donc cette tradition. 


Le président d’extrême droite du Brésil ouvrira l’Assemblée générale de l’ONU, prévue à partir de ce mardi 20 septembre à New-York.Son discours sera suivi de celui des États-Unis. Emmanuel Macron ne parlera qu’en 15e.Un ordre de passage précis, déterminé par une tradition de longue date.

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Guerre en Ukraine, catastrophes climatiques, insécurité alimentaire… Dans un monde assiégé par les crises, les dirigeants de la planète vont se succéder à partir de ce mardi à la tribune de l’Assemblée générale de l’ONU, éprouvée par des divisions profondes. Pendant près d’une semaine, quelque 150 chefs d’État et de gouvernement du monde entier vont prendre la parole lors de cette grand-messe diplomatique annuelle, qui reprend en présentiel après deux années de pandémie de Covid-19.

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Comme chaque année, c’est le Brésil de Jair Bolsonaro, qui ouvrira la danse, suivi des États-Unis, avec la prise de parole de Joe Biden. Le président français, lui, ne s’exprimera qu’en 15e position, mardi après-midi, derrière la Suisse, la Finlande, le Paraguay, ou encore la République de Corée. Un ordre déterminé par une tradition de longue date. On vous explique. 

Une tradition vieille de 75 ans

Cette tradition remonte à 1947. Il y a 75 ans, le Brésil avait, pour la première fois, ouvert l’Assemblée générale de l’ONU, car aucun autre État membre n’avait voulu le faire. Depuis, le pays d’Amérique du Sud prend systématiquement la parole en premier, apprend-on sur le site des Nations Unies. Élu en janvier 2019, et candidat à sa réélection en octobre prochain, le président controversé d’extrême-droite brésilien Jair Bolsonaro suit donc cette tradition. 

Une tradition ancrée dans le protocole officiel, qui prévoit que le deuxième orateur soit le pays hôte, à savoir les États-Unis. Ensuite, l’ordre des intervenants est défini par “un algorithme complexe reflétant le niveau de représentation, l’équilibre géographique, l’ordre dans lequel la demande de parole a été enregistrée et d’autres considérations”, détaille le site de l’ONU. 

Source : TF1

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